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La traversée du désert n'aura pas duré quarante jours mais quatre longues années...
Avec Панихида, Батюшка renaît enfin de ses cendres et, bien que désormais seul (ou plus exactement entouré de deux chanteurs), Христофор accomplit un miracle. Il s'inscrit dans la continuité de Литоургиiа avec un black metal orthodoxe qui nous convie ici à une cérémonie dédiée aux morts. Sa vision est englobante : les mélodies, la gravité et le silence font toucher le paradis ; l'agressivité est luciférienne. Jordan Vauvert
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When it comes to the "atmosphere" in "atmospheric black metal", this release probably succeeds the most in making me feel like i exist within this universe of music. domfabio
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On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs... Jordan Vauvert
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A truly stellar death/doom album with heavy doses of black metal. Tracks like Isolation, Child of Light, and Broken Hymns deliver the sorrowful and icy tone of this album, elevated by the stirring cello compositions of Raphael Weinroth-Browne. The album delivers a deeply satisfying crescendo in Becoming Intangible before stirring the soul once again with Epilogue. Matt Richardson